Sans le savoir, Mézières et Christin viennent de créer une référence du cinéma de science-fiction, qui n’existe pas encore. (...) Luc Besson a lu ces albums pendant sa jeunesse. Dans les années 1990, il demande à Mézières de concevoir les décors du Cinquième Élément. Plus tard, le réalisateur rend un deuxième hommage au héros de son enfance avec le long-métrage le plus cher du cinéma français, Valérian et la Cité des mille planètes. Deux films appréciés par le dessinateur. Ce sera moins le cas pour les inspirations de George Lucas, le créateur de Star Wars. L’Américain s’inspire grandement de Valérian et Laureline pour créer la trilogie originale, sortie entre 1977 et 1983. La forme d’un vaisseau spatial ou le bikini de Princesse Leia lui valent même d’être accusé de plagiat. Jean-Claude Mézières demandera des explications à George Lucas, mais sa lettre restera sans réponse.
Without knowing it, Mézières and Christin have just created a reference of the science-fiction cinema, which does not exist yet. (...) Luc Besson read these albums during his youth. In the 1990s, he asked Mézières to design the sets of The Fifth Element. Later, the director pays a second tribute to the hero of his childhood with the most expensive feature film of French cinema, Valerian and the City of a Thousand Planets. Two films appreciated by the designer. It will be less the case for the inspirations of George Lucas, the creator of Star Wars. The American was greatly inspired by Valerian and Laureline to create the original trilogy, released between 1977 and 1983. The shape of a spaceship or the bikini of Princess Leia even earned him accusations of plagiarism. Jean-Claude Mézières will ask George Lucas for explanations, but his letter will remain unanswered Translated with www.DeepL.com/Translator (free version)
Dans les années 1920 Emilie Charmy réalise d'extraordinaires nus féminins, célébrés par les écrivains de l'époque. Colette écrit ainsi de Charmy qu'elle est la "servante magistrale d'une chair féminine", au "pinceau subtil, sans artifices et guidé par une lucide passion". La peintre s'est ici inspirée d'une photo de celle qui fut son amie et son amante. (texte du cartel de l’exposition) In the 1920s Emilie Charmy realized extraordinary female nudes, celebrated by the writers of the time. Colette wrote about Charmy that she was a "masterful servant of a feminine flesh", with a "subtle brush, without artifice and guided by a lucid passion". The painter was inspired here by a photo of the one who was her friend and her lover. (text from the exhibition’s cartel)